Carnet de références

Dans le cadre de mon grand projet de troisième année à Pennnighen j’ai choisit comme objet et point de départ “ Mon Carnet de voyage” .  Je souhaite aborder les thèmes du voyage, de la nature, de l’introspection, de la spiritualité. 

Note D’intention 


Ici sont référencés les artistes qui m’inspirent le plus, classés par ordre de préférence et pertinence vis à vis de mon projet et mes choix graphiques.



Art visuel et graphique
  1. Yayoi Kusama
  2. Robert Combas
  3. Eileen Agaar
  4. Sophie Calle
  5. Sagmeister
  6. Georgia O’Keeffe
  7. Ernst Haeckel
  8. Salvador Dali

Art numérique/multimédia
  1. Christa Sommerer & Laurent Mignonneau
  2. Quayola
  3. Joanie Lemercier
  4. Philipp Frank
  5. Adrien M et Claire B
  6. Refik Anadol

Photographie
  1. Martin Parr
  2. Ken Domon
  3. Eliott Erwitt
  4. Jan Groover
  5. Yann Arthus-Bertrand

Littérature/cinéma
  1. La prophétie des andes
  2. Le prophète
  3. Les quatres accords toltèques
  4. Euphoria
  5. Alice au pays des merveilles

Design/architecture
  1. Iris van Herpen
  2. George Nakashima

5. Adrien M et Claire B






En amour, 2024

En amour est une expérience immersive et interactive, à l’intersection du spectacle vivant, de la performance et de l’installation d’arts visuels.
Cette œuvre offre la possibilité de vivre une métamorphose symbolique autour du thème de l’amour et de la séparation. Sa narration prend sa source dans une histoire intime, pour s’ouvrir à plus grand, et partager un parcours de sensations, d’émotions, de formes, de couleurs, de sons et de mots qui viendraient réveiller, déglacer, muscler notre amour à toutes et tous.


Piano Piano, 2023

Piano piano incarne leur folle envie de raviver l’endroit où ils s’étaient laissés il y a vingt ans: la rêverie, l’expérimentation, le plaisir du jeu. Et ainsi de s’éloigner de leur zone de confort - David en abandonnant la chanson pour se retrouver seul, face à son piano et au répertoire instrumental de son dernier album « une maison avec un piano dedans » ; Adrien en retrouvant la scène et l’attraction bien réelle d’une balle, le risque d’une chute.

« Être neufs de nouveau, chacun emplis des routes qu’ils ont traversées. Devenus adultes, retrouver l’enfance de l’art ou l’art d’être enfants. »

Sur scène, plongés littéralement dans un « espace-image », le piano et les deux interprètes deviennent les protagonistes d’une flânerie onirique entre abstraction et impressionnisme. Empreint d’une simplicité d’assemblage entre un univers sonore et un univers visuel, l’image incarne les notes manquantes de la musique, et inversement. Pour rendre visible les vibrations de l’air, sentir la résonance d’un accord, mais aussi voir le silence, et entendre l’obscurité.